dimanche 23 octobre 2016

23 octobre : éblouis !

Ce matin, on a quitté le gîte, nos sacs sur le dos pour une randonnée qui nous mènerait jusqu'au ferry pour rentrer à Mindelo...
On a marché, marché, jusqu'au cratère du volcan Cova, puis on a grimpé raide, raide, raide, et on a débouché sur une descente vertigineuse vers une vallée lointaine qui finissait au loin sur la mer. Alors, on est descendu, descendu, descendu (les genoux ont fini par protester !) jusqu'au village de Paul au bord de la mer. Bienheureux de ne pas avoir fait l'itinéraire dans l'autre sens (là, y'a pas que les genoux qui auraient protesté !!!).
Ce soir, on est cuits mais on a la banane ! Le bonheur en mer, c'est aussi d'explorer de nouvelles terres !
Le cratère du volcan : circulaire et vert !

La Cova : au loin, la grimpette pour sortir du cratère


Et au débouché du volcan : une plongée vertigineuse !

Vous la voyez la pente ?

fascinée !

Y'a plus qu'à descendre jusqu'à la mer au fond !

des cabanes d'agriculteurs au milieu des cannes à sucre, des bananiers et des caféiers

des cultures au cordeau !

Et au milieu coule une rivière...

caféier



La mamie nous a piégés : rhum à 11 heures: finalement, c'est délicieux !

Enfin, arrivés sur la route du fond de la vallée

Retour du potager


fruit de l'arbre à pain

bananiers, papayers, arbres à pain, manguiers, cannes à sucre, cocotiers
au milieu des roches volcaniques : exotique au possible !

Arrivée à Paul : fleurs et mer...

On quitte Paul en taxi pour rallier le ferry à Porto Novo 


Hugh !

Porto Novo vu du ferry qui nous ramène en 1 heure à Mindelo

Vue sur notre marina depuis le trottoir : apaisant

La montagne préférée des habitants de Mindelo ( le Bockornine local pour les Tunisois) : elle inspire peintres et musiciens (on y voit un profil d'homme : le voyez-vous ?)

Et comme ça, vous voyez mieux ? Saisissant, non ?

22 octobre : excursion à Sao Antao

Hier, au lieu de suivre la flotte vers un premier mouillage à Sao Antao, l'île juste en face de Mindelo, nous avons pris le ferry pour la même île, puis le taxi collectif et nous sommes montés dans la montagne pour une nuit dans un gite tenu par un breton : dépaysement garanti ! Après des petits airs de Vosges, nous sommes allés d'émerveillement en émerveillement, avec des vues vertigineuses vers des vallées vertes et profondes: on se serait crus dans la vallée des dinosaures en compagnie de "Petit Pied" !
notre gite


un petit air vosgien

une année sabbatique : un travail de tous les instants